Alors aujour'hui est un jour spécial car.... on a loué une voiture (j'avoue que je flippais un peu surtout de conduire dans BS AS et encore plus quand il m'a dit que la franchise en cas d'accident était de 21 000 $ (soit 3500 euros environ). Pour couronner le tout, plus de GPS a l'agence... il va falloir faire avec le GPS du S3...au passage, un grand merci a Fabien dem'avoir donner Sygic, tu nous a sauvé la journée.

On se rend donc a l'Aeroparque pour louer notre voiture (une petite j'avais précisé) mais voila que le loueur nous surclasse avec un voiture plus grosse (une Chrevrolet Aveo). Il nous explique les régles de circulation (nombreux radar pour les infractions à la vitesse, on se plein en France mais c'est pire ici), feux de croisement en permanence etc...

Je sors du parking et ohhhh surprise...c'est moi qui assiste la direction... je m'engage dans la circulation de BS AS qui finalment n'est pas si terrible que ca si on omet qu'ici personne ne tient sa file plus de 100 metres et que de toute facon, il n'y a pas de lignes au sol pour les délimiter. On prend la direction de Lujan et de son fameux zoo ou l'on peu caresser les Lions (entre autre).

Arrivée au zoo, on appercois un bébé tigre pas plus gros qu'une peluche, on va se garer parmis les nombreux canards qui circulent dans le zoo.  On va voir lebébé tigre qui a a peine 2 mois. Ensuite on se ballade dansle zoo qui ressemble a certains endroits a un garage a vieillerie (tracteurs, char de l'armée, voitures en tout genre...). On mange un peu et on se dirige vers la vraie attraction du zoo, aller caresser 1 tigre blanc et ensuite un Lion... Du vrai bonheur, les animeaux se laissent toucher comme des peluches. Il y a d'ailleur des chiens avec euxen cages ce qui ne semble perturber ni les un, ni les autres.

Ho, une hotesse Aerolineas Argentinas

On se demande lequel des deux a l'air le plus féroce... 

Il est temps pour nous d'aller vers notre 2eme partie de la journée : un parc d'attractions !!!!

On fait une pause café et chimichouri au Wallmart qu'on trouve sur la route et on arrive donc a Tigre, en banlieue Nord de BS AS.

On se gare et on fait nos feignasses en attendant la navette du casino voisin (le Trilenium) pour nous conduire a l'entrée du parc (500 metres environ).

Le parc est plutot mignon mais trés petit...on sent qu'on va vite en faire le tour. Il fait chaud alors on commence par un Flume (les buches pour les lambdas)...1 heure de queue pour se rafraichir... cette attraction aura remplie sa mission, je suis T R E M P E jusqu'au boxer...merde, le soleil commence déjà à disparaitre.... Ensuite on va faire un boomerang Vekaka et un SLC du meme constructeur taré. Il nous en manque un, la spinning wild mouse Reverchon...voila c'est marrant, ca tourne trés vite...comme l'heure d'ailleur...on est deja a la bourre pour retourner a BS AS ou on doit retrouver Ximena (la soeur d'une amie) pour aller au trés chic restaurant La Cabana (Madonna, Juan Carlos et autres célébrités y ont mangé)a Puerto Madero.

Le temps qu'on rentre a l'hotel, un violent orage commence a éclater deversant des trombes d'eau sur la ville...ca fait du bien car il commencais a faire vraiment trés lourd.

Ca c'est du crédit...

Oui, nous on a des dumbos ben eux ils ont des orques...faut leur dire que ca se sniffe pas le chimichouri !

Ce matin encore un reveilaux aurores...on c'est couché a 1h00 et la ca pique vraiment à 6 heures...surtout avec des cons qui ont tiré un putain de feux d'artifice a coté de l'appart a 2h30 du mat !!!

On arrive donc à l'aeroport avec 2 heures d'avance et nous recevons une invitation au salon VIP de l'aeroport...attention sympa car je suis Flying Blue Golden Pétasse.Je fume mes dernieres clopes, passe les douanes et vais profiter quelques minutes du lounge... c'etait sans compter que le vol aurait 3 heures de retard !!! (pour un vol de 45 minutes...ca pique vraiment). Personnel Aerolineas inexistant tout comme les annonces pour nous tenir au courant...alors avec Shook, on s'empifre et on passe le temps a geeker sur nos devices (nos tablettes pour les vieilles qui ne comprendraient pas ;).

Au final un shuttle privé nous fera faire les 100 metres qui nous separerons de l'avion pour un embarquement prioritaire.

A bord, comme d'habitude, pas une excuse pour le retard et encore moins d'explication. Ca aurait pu s'arreter la mais à notre arrivée à l'aeroport international Ezeiza (l'autre aéroport de la ville, l'international, celui ou se posent tout les vols en provenance de loinnnnnn) un employé, pas reveillé, mal luné ou qui s'en foutait complétement, a ouvert le mauvais chemin dans la passerelle, du coup tape toi 500 metres avant qu'un gars de la sécurité te fasse faire demi tour pour gagner le bon chemin (qui n'etait toujours pas ouvert et encore moins indiqué) bref aprés 30 minutes d'aller et retour et des passager au bors de la crise de nerfs (dont je fait parti car mine de rien ca va faire 5 heures que je n'ai pas fumé), prets a taper sur tout ce qui porte un uniforme AR, on parvient aux douanes, ou bien evidement il y a une file interminable. Ma seule consolation de la journée aura été de voir un B787 de LAN tout proche.

On devait louer une voiture our aller au zoo et au parc d'attraction, finalement ca sera pour le lendemain, la on veut aller à l'hotel faire une sieste car ce soir on c'est prevu un autre spectacle de Tango.

Le show a lieu juste à coté de l'hotel mais comme on a pris que le show sans le diner, on aura une table mal placée et du coup a force de se contortioner, on finira par partir aprés 1 heure de spectacle pour aller se coucher car on est tout les 2 creuvés.

Alors voila on a fait nos grosses feignasses mais c'était quand meme bien mérité apres 15 jours de quasi course à la découverte de cet immense pays.

Le Dernier jour de l'année, on s'est levé aux aurores a 06 du mat... ce reveil a quand meme piqué mais 2 secondes aprés m'etre levé, la vue des chutes depuis notre balcon m'a vite reveillé.

Transfert à l'aéroport, décollage à l'heure (pour une fois) et direction BS AS comme ils disent ici. Dernier passage à l'Aeroparque Jorge Newberry (et oui mine de rien on y aura passé un petit bout de temps dans ce petit aerport du centre ville). Passage des douanes (et oui on quitte encore l'Argentine), petite frayeur de Shooket car le douanier a regardé sceptique son passeport (pour ceux qui le connaissent, la photo n'est plus tres ressemblante) et puis attente en mini zone internationale (2 portes seulement). Le vol a une heure de retard mais aucunes annonce au micro...et de toute facon on voit bien qu'il n'y a pas d'avion. Apres un vol assez mouvementé (un enorme front orageux était en train de se former sur Punta Del Este) et un atterrissage a la "Seb qui joue a Flight Simulator", on arrive finalement dans ce mini aeroport...mais ca sent déjà le fric au nombre et au type de jet privés sur le tarmac. A la sortie de l'avion, une chaleur etouffante nous acceuille ainsi que des bus noirs et sans clim pour aller au terminal. Passage des douanes sans emcombres (et hop, un tampon de plus). On veut retirer des Pesos Urugayos ...mais le distributeur est vide! Pas grave, le taxi nous dit qu'on peux payer en Pesos Argentins (d'ailleurs les prix sont en Pesos Uruguyos, Argentinos et...dollars). On rejoint donc notre appart pu on doit rejoindre la proprio pour les cles... Heureusement que nous sommes à l'abris car un orage "tropical" assez violent avec des trombes d'eau éclate juste à notre arrivée...

On décide de fraire une petite sieste avant de décider de ce que l'on fera ce soir. On se reveille, il y a pasmal de vent la pluis c'est arreté. On va faire quelque courses pour eventuellement diner et pour le petit dejeuner (et oui finit les buffets gargantueste déjà prets ou les appel au room service). Alejandra, notre propio, nous a dit qu'il serait dur de trouver du cash car les distributeurs sont quasi tous vides...il faudra en faire plusieur avant d'en trouver un ou il reste quelques billets. 

On décide de se faire un petit repas tranquillou pour ce dernier repas de l'année et d'attendre gentillement les feux d'artifices de la sation balneaire. On s'appercevra qu'effectivement, la reglementation et la sécurité ne sont pas les memes que chez nous... une multitude de feux d'artifices eclaterons des petits, des grands, des petards trés bruyant et il y a meme un gars qui allumera des fusées au carrefour en bas de chez nous en plein milieu du traffic.

Le 2eme jour sera super venteux comme en atteste les photos ci dessous donc nous sortirons juste pour aller boire un verre mais il caille vraiment.

Le 3eme jour, il fera super beau et du coup on en profitera pour bien se ballader sur la plage et en ville mais deja la mélencolie du retour nous guette...

La couleur marron de l'eau est du au fait que Punta Del Este est la pointe à l'embouchure du Rio de Plata, sur l'autre rive de Buenos Aires (et qu'avec Shook on a renomé Rio de Caca)

D'un coté de la pointe, il y a le Rio de Plata et de l'autre, l'ocean Atlantique.

Mais pourquoi "FLAP FLAP FLAP" ? 

Paske c'est comme ça que la journée a commencé... Enfin presque. En se levant, on se rend compte qu'il fait beau et qu'on se dit que limite on aurait de la chance. Après notre petit déj, on appelle notre chauffeur de la veille pour qu'il passe nous chercher et nous amène à la première destination de la journée, le Brésil mission 2. En y allant, le ciel se couvre et on prie pour qu'il ne pleuve pas. 

Paske là maintenant, on va faire de la libellule... mais de la très grosse libellule !

Genre de la libellule comme ça. 

En fait, on devait le faire la veille, mais les conditions météo étant loin d'être optimales, on a du reporter. Le tour devrait durer 10 mins, pas plus, mais ce sera presque suffisant pour faire un saut de puce vers les chutes et les survoler, si nous devons aller au Brésil pour faire de l'hélicoptère c'est parce que le survol des chutes en Argentine est interdit... Respect de l'environnement, tout ça. 

La compagne possède une petite flotte, et si la salle d'attente est bien pleine nous n'attendrons pas très longtemps. L'équipe nous 'charge' dans un appareil avec un couple d'asiatiques qui devait peser 40kgs à eux deux, appareils photos compris. Vraiment, nous ne comprenons pas ce choix. Ce ne sera pas plus mal et comme c'est mon cadal d'anniversaire, j'aurais droit de m'assoir devant, à côté du pilote. Je peux vous dire qu'à quelques centimètres des pédales, d'un manche (d'hélicoptère, pas du pilote), et de tout les appareils de commandes, la tentation de jouer à "c'est quoi ce bouton? *clic*" est très très grande. 

Hop, comme ça... Front row !

J'ai été sage, j'ai  touché à rien, et j'ai fait mon baptême d'hélico au dessus d'un superbe paysage ! 

Allez, maintenant, je vous assomme de photos aériennes : 

Hop, c'était joli, court mais joli, il est temps de retourner en Argentine, quitter notre chauffeur jusqu'au lendemain pour le transfert vers l'aéroport, mais maitenant nous allons partir sur les chutes côté argentin. 

Les chemins de randos sont juste derrière l'hôtel. Trop cool. Pour rejoindre un des chemins les plus intéressants, la Gorge du Diable, on a le choix entre prendre le petit train ou se coltiner les 4 kms de marche. Entre temps, le ciel s'est un peu levé et quand le soleil tape, il ne fait pas semblant et la température dépasse facilement les 30 degrés. 

Bon bin... Tous en train (ceux qui connaissent la mini parade de Disney ont désormais la musique en tête) (ne me remerciez pas, c'est naturel)

Alors c'est quoi la Gorge du Diable ? Bin c'est le petit nom donné au sommet d'une des parties des chutes... et pour qu'on soit aux premières loges, on a tout un système de passerelles qui passent au dessus de l'eau pour aller au bord des chutes, et on se dit qu'une petite promenade sur l'eau, ce sera bien chouette. 

Oui sauf que la rivière et très très très large, et qu'il faut bien 20 minutes pour la traverser ! 

A la queue leu leu (air connu)

Sur les quelques petits ilots que nous traversons, on nous rappelle que la jungle, c'est hostile.

Enfin au bout du chemin, la force de l'eau est ... frappante.

Un pauvre petit brin d'herbe qui a eu la bonne idée de pousser au mauvais endroit.

On passe tout près d'une des anciennes passerelles, en bois, au dessus de l'eau et à proximité d'une chute d'eau, mouais, ça devait être rassurant ! 

Sinon, un peu de faune locale :

Une fois de retour, Crazy Traveller a envie de se rafraîchir. De l'eau ? Une glace ? Nan, comme il a vraiment chaud sa race, il a envie de faire un tour en bateau en bas des chutes, paske le bateau en bas des chutes, il passe dans les embruns, et visiblement ça rince bien. 

Il est donc 16h30 quand on va prendre notre billet, la gonzesse de la caisse nous explique qu'il faut descendre touuuuut en bas, mais ça ne fait QUE 50 marches, donc ça va c'est rapide, mais il faut se grouiller paske le dernier bateau part à 17h, et pour y aller c'est SUPER facile. A gauche après le phare, pis à droite, pis la deuxième à droite, pis à gauche, pis à droite, pis on remonte pour descendre et voilà !

4 demis tours, 200 marches, et 34 mins plus tard nous voilà à l'embarcadère.

... 

Oui voilà, on est arrivés à 17h02, y'a pu qu'à rebrousser chemins. 

Secs. 

Enfin non, en sueur, paske comme des cons, on s'est dépêchés.

Bon par contre, c'était choli.

Oui oui on sait, pas de nouvelles depuis 3 jours... on ne vous a pas abandonnés, on a fait les radins. Notre hôtel faisait payer le wifi une blinde et demie... oui oui notre hôtel facturait le wifi. 

Breeef

Ce matin à Buenos Aires, il est tôt, et une navette passe nous prendre direction Aeroparque pour atteindre Iguazu avec notre compagnie aérienne préférée : Aerogrognasse.

Rituel classique, un café, une clope pour Seb et on part. Pour moi, la visite d'Iguazu sera une surprise, pour mon anniversaire Seb a prévu quelques surprises en commençant par notre hôtel.

Bon, par contre, tropiques oblige, il pleut, bah wé, sinon c'est pas drôle. 

Jorge, notre chauffeur passe nous prendre, il nous emmène justement à l'hotel où nous logerons : le Sheraton Iguazu, oui oui rien que ça. L'établissement est situé face aux chutes, à vol d'oiseau, elles sont à deux kilomètres, et, joie suprême, notre chambre donne sur les chutes, nous sommes suffisamment près pour entendre le bruit des chutes. 

Nous commençons par aller au Brésil, en passant, on perd une heure. Le pont surplombant la rivière séparant les deux pays est séparé en deux, peint aux couleurs de l'Argentine d'un côté et du Brésil de l'autre. Le passage à la douane sera vite expédié, un tampon sur le passeport, et nous voilà au pays de la samba. Et de la mousson. Pendant que nous mangerons, l'orage éclatera, le ciel est noir, et une douche s'abattra sur la route. Ah ? Les chutes d'Iguazu, c'est ça aussi ?

Entre le Brésil et l'Argentine, une attraction pour touristes...

Grâce à cette photo, on pourrait croire qu'il fait beau... 

Alors qu'en fait, non.

Après manger, Jorge nous dépose devant une énorme boutique pour touristes, le but officiel : acheter des ponchos de pluie, le but officieux : nous faire claquer du fric. On sortira avec des magnets et des ponchos. Cela dit entre la voiture et le magasin, on était déjà trempés jusqu'au string... ou au boxer.

Suite des réjouissances, la balade près des chutes côté brésilien. Un bus nous dépose à un point, on descend avec des passerelles jusqu'à la base de la chute. On prend de l'eau de partout : d'en bas, d'en haut, des côtés, notre sac poubelle poncho colle, et mon appareil photo laisse sa place au camescope waterplouf.

Les chutes, donc.

Tu la sens l'hostilité de la jungle ?

Notre hôtel, vu du Brésil.

Les quelques photos digoulasses qui vont suivre sont prises sous des trombes d'eau avec un camescope waterplouf, vous pourrez comprendre à quel point nous avons été malmenés par les éléments. Merci de nous plaindre.

La passerelle pour aller au bord d'une des chutes, les éléments déchaînés, la passerelle est en métal, un peu de patinage artistique pour arriver au bout. On l'a fait sans tomber, un exploit ! 

Nous remonterons comme des grosses feignasses de touristes que nous sommes, en ascenceur. Car si le côté Argentin est très à cheval sur l'écologie, et utilisera des passerelles sans ascenceur, et un train au gaz naturel, le Brésil lui, l'empreinte écolo de son site, il s'en tape un peu. Pour preuve, Puerto Iguazu la ville argentine près des chutes n'accepte aucune industrie et ne vit que grâce au toursime, Foz de Iguazu au Brésil et quant à elle beaucoup plus grande et compte quelques usines. 

En quittant les chutes, notre chauffeur nous fait faire un détour que nous lui avons demandé. Passer par le Paraguay... Pour le shopping ? Pour la culture ? Pour la gastronomie ? Nanan, juste pour les tampons. 

Tout comme le passage entre l'Argentine et le Brésil, le passage entre le Brésil et le Paraguay se fait au dessus d'un pont. A la douane paraguayenne, pour éviter tout débordement et faire ça le plus vite possible, nous jouerons nos français de base, interdiction de parler espagnol ou anglais. Même pas gracias, notre guide dira aux douanier que nous allons seulement à l'aéroport. Notre passeport sera tamponné. Et nous pourrons découvrir Ciudad del Este, aka le Las Vegas du pauvre... 

C'est bien l'effet que nous aura fait cette ville... à l'entrée dans le pays, un gros duty free, un peu plus loin un autre centre commercial qui fait beaucoup de pub côté brésilienne, et pour le reste, des vieux immeubles, des devantures de boutiques ancestrales et les billboards dépassés. Nous sommes arrivés dans le pays à la tombée de la nuit . Nous ne resterons donc pas. 

Le mall à l'entrée du pays, viendez chers touristes !

On part pour se faire tamponner en sortie, et au moment de repartir, nous voilà bloqués à la frontière, impossible de rejoindre le Brésil. 

Nous sommes coincés à la douane paraguayenne (et là, nos mères qui lisent ce blog font une attaque cardiaque) par un bus garé en double  

Huhuhu

En quittant le Paraguay, et avant d'entrer au Brésil, notre guide nous explique le pourquoi des réparations du grillage... lors des embouteillages pour quitter le pays, les contrebandiers (de sucre en poudre, évidemment) scruttent la douane, s'ils voient des fouilles au loin, ils percent le grillage et larguent discrètement la came dans la rivière en contrebas. Il y a visiblement des crocodiles dans cette rivière... probablement les seuls crocos junkies d'Amérique latine. 

Nous rentrerons sagement à l'hôtel, pour profiter du repas en mode Room Service de rombière.

On retrouve notre Vivi qui a un peu de retard à cause du Metro (et oui il n'y a pas que la RATP qui merde).

A notre tour on prend le metro (la ligne A fete ses 100 ans cet année et a voir l'état des trains originaux on voit bien qu'elle n'est pas toute jeune) pour aller au Congrés et voir la kilomètre 0 de l'Argentine et le début de la Ruta 3 dont on a vu la fin à Ushuaia.

Pause gourmande au Café Tortoni, le plus vieux du pays fondé en 1858 ou je déguste un chocolat chaud (qui vaut largementcelui de Chez Angelina, pou rceux qui conaissent).

On ira ensuite au Cimentero de la Recoletta ou est entérée Evita (c'est le 3éme cimetière le plus visité au monde dériere Milan et le Père Lachaise). Alors ce cimtière est trés particulier car les mausolées sont magnifiques et rivalisent d'originalité (dans la plupart, on voit de dehors les cercueils. Le metre carré ici coute prés de 10 000 dollars. Pause au Starbuck du cimetière pour prendre un frapuccino Dulce de Leche.

On ira ensuite au musée d'Evita qui retrace sa vie et son histoire (coutre, elle est morte à 33 ans).

On se ballade gentiment dans le quartier résidentiel et huppé de la Recoletta jusqu'au jardin des roses, un magnifique jardin à la française remplis de roses.

Avec Shooket, on se sépare. Je vais faire mes amplettes de cuir (moins cher qu'au Maroc et de meilleure qualitée) alorsque Shooket va se balader vers Corientes à la découverte d'un ancien theatre transformé en librairie, juste magnifique.

On finira notre soirée en se faisant livrer un Bife de Chorizzo sur la terrace de notre chambre en regardant le film Evita.

El Congresso

Kilometro O

La ligne A et ses 100 ans

Cabine de conduite de la ligne A

Café Totroni

La Tombe d'Eva Duarte De Peron

Museo Evita (c'est un Aveyronnais qui peindra l'un de ces plus fameux portrait)

Jardin des Roses

Nous avons rendez vous avec Vivi, notre guide privée.

Direct elle nous enchaine avec le bus 29 de Corientes à La Boca, un quartier trés coloré ou les premiers imigrants Italiens et Espagnols s'instalerent pour travailler au port tout proche à l'epoque. Nous nous posons pour prendre un Alfajor (oui oui les gateaux qui font 4000 calories à la Dulce de Leche) pour parler de l'histoire du quartier et de la Ville. Si la ville s'apelle Buenos Aires, ce n'est pas a cause de la qualité de son air maisà cause de la Vierge du port qui est Santa Maria del Buen Aire. La ville à faillit s'apeller Santissima Trinidad. On se dirige ensuite à la Bomboneria, le stade de l'un des 2 clubs de foot de la ville : le Club Athlitico Boca Junior. Il y a une voie férée qui passe à travers le quartier avec un train par mois... et on le verra passer. On retourne ensuite sur la fameuse ligne 29 pour aller à la Casa Rosada, le palais présidentiel du pays et le musée du bi-centenaire de l'Indépendance (l'un des symbole de la "révolution" Argentine est d'ailleurs le bonnet frigien car il se sont inspirés de la Révolution Française pour faire la leur) . Ce musée et construit sur les ruines de l'ancien fort de la ville. Toute cette partie de la ville à été gagnée sur le Rio de la Plata. On ira ensuite sur la Plaza de Mayo, haut lieu de la contestation du peuple Argentin (toujours d'actualité, toutes les manifestations se font encore ici) et à la Cathedrale de la ville ou il y a le mausaulée du Libérateur de l'Argentine (mais aussi du Perou, du Chili et de la Bolivie) le Général San Martin qui s'est battu contre les Espagnols et qui aprés sa victoire à Tucuman est parti vivre avec sa famille à ... Boulogne sur Mer!

On retournera doucement vers un bar début 19eme ou des professeurs donnent des cours de Tango... En arrivant, on nous dit qu'il 'y en a pas aujourd'hui (ouf de soulagement pour ma part)et finalement si un prof vient d'arriver (petite hésitation pour ma part toujours et finalement je me lance - Aprés tout il y a une preuve écrite dans ce blog qui dit que je voulais aller a BUE pour dancer le Tango...). La Prof Argentine parle remarcablement bien le français. Nous voila parti bourrelets serrés pour nos premiers pas de tango. On en aura appris les principaux et je trouve que l'on se demerde pas trop mal pour des débutants.

Temps pour nous d'aller nous doucher pour notre 2eme schow de Tango....c'était sans compter la coupure de courant et d'eau chaude de l'hotel... décidement notre karma de merde aussi a pris une chambre au NH... 

On s'apprete en bon Français (sans se laver et avec 3 tonnes de parfum pour cacher la misère) et on fonce au spectacle "Los Angelitos" un café tehatre avec un show assez moderne, que je préfére (et Shook aussi) à l'autre d'hier soir.

La Boca

Un Alfajor

La Bombonera

LE Train mensuel 

Santa Maria del Buen Aire

Casa Rosada

Museo del Bicentenario

Plaza de Mayo et Manif pour les "Desaparecidos" de la dictature

La Cathedrale

Los Angelitos

Nous nous envolons donc pour la "Big Apple" Argentine... Un vol Aerolineas normal, a savoir sans sourires, une boite repas degeulasse avec une barre de céréale et des chips gout pizza et un café qui a du etre fait à la mort de Evita en 1952...A l'arrivée à l'Aeroparque Jorge Newberry, l'avion s'imobilise sur le taxiway pendant un moment...tout le monde se leve et aucune hotesse ne trouvera rien a dire ! meme quand l'avion redemarera pour aller se parquer... nous attendons les valises indéfiment avant de rejoindre notre transfert qui nous menera au NH Tango.

Ce soir c'est Tango Show...alors il faut se faire beau. On va donc Avenida Florida à la Galeria Pacifico pour se faire couper les cheveux (ou se les faire teindre).

Forcement, pour moi c'est plus rapide que Shooket alors je décide de rentrer à l'hotel pour prendre une douche et etre pret quand elle rentrera. 

Je rentre dans la douche en m'etonnant du peu de débit de l'eau et sur le fait qu'apres 5 minutes de robinet ouvert, toujours pas d'eau chaude. J'apelle la reception qui me dit que le probleme va etre resolu dans quelques minutes... je décide donc de prendre une douche des heros (froide) car mine de rien le temps passe....je me mouille, me savonne et la.... plus d'eau tout court!!! J'apelle la reception avec une receptioniste vraiment désolé et lui demande de me monter quelques bouteilles d'eau minerale pour me rincer. Shokket rentre, je suis donc nu et plein de savon...aprés plusieur appels à la reception et quelques clopes dans la douche, un cuistot arrive avec une marmitte d'eau tiede pour que je me rince. Au moment ou je commence a me rincer, l'eau de l'hotel revient... J'ai 10 minutes pourfinir de me preparer pour aller au Tango Show.

On arrive donc au Querandi, un ancien café début 19eme reconvertis en salle de spectacle. Le show traditionnel est trésbien et retrace l'Histoire du Tango du début à maintenant avec des exemples live.

On rentre à l'hotel pour dormir car demain une longue journée nous attend.

Comme Aujourd'hui c'est Noyel, ben on a le droit de dormir 1 heure de plus avant d'aller au fameux glacier... il fait un peu frais alors par precaution, je prend une polaire care on a beau etre en été ben s'il y a un glacier, c'est qu'il doit pas faire bien chaud la bas ! on part en bus betaillere avec pleins d'autre gens (beurkkkkkk) et une guide hispano-anglophone. Aprés une heure et demi de route, on commence à appercevoir le dit glacier (pour vous culturez un peu, ce petit glaçon fait 30 km de long, 5 de large et une hauteur de 60 metres !). On nous débarque au milieu de nulle part ou 1 bateau nous attend. Aprés 20 minutes de navigation, on approche la bete...et je dois dire c'est assez impressionant...déjà il fait effectivement assez froid... on stationera à une centaine de metres du glacier ou l'on aura la chance devoir un bout assez conséquent tomber dans un fracas indescriptible. Aprés une petite croisiére de 1 heure, retour au bus qui nous emmenera cette fois aux terraces d'observations (la guide nous explique qu'il y a 4 chemins plus ou moins facile et qu'il ne faut pas oublier que ce qu'on descend...ben faudra le remonter) ou l'on pourra admirer ce bout de glace (presque) en silence. Vous voyez le bruit qu'un glacon fait quand on le met dans un verre et que ca claque d'un coup...ben imaginez la meme chose remis à la taille du glacier...  Une envie de café nous fera quand meme louper un mega bloc qui est tombé dans un bruit d'explosion assourdissant faisant se retourner et courir tout les touristes.

On retournera tranquilement sur El Calafateen mode associal avec nos ecouteurs sur les oreilles pour ne plus entendre les asiat qui braillent dans le bus avec 2 pauses photos assez sympa.

Voila, soirée de rombiere "room service" et champagne tranquilement pour nous reposer... faut pas déconner mais elles sont creuvantes nos journées !!!

La route jusqu'au Parque Nacional de los Glaciares

Lenouveau chemin...et l'ancien en contre bas

Départ d'Ushuaia (la ville ou tout est le plus au sud, le phare, le port,une biffle, des chiottes...) pour El Calafate au sud de la Patagonie sans problème - stop - vol sans AUCUN service à bord - stop - arrivée sans encombre à El Calafate - stop - transfert à l'hotel ok - stop - sieste pour Crazy Traveller - stop - parc hornitologique pour Shooket - stop - repas de Noel au restaurant entouré de beaufs Américains - stop - Bonne nuit - stop

Ushuaia aprés decolage et le virage TRES incliné pour ne pas survoler le Chili

Le detroit de Magellan

Le Lago Argentino à notre arrivée à El Calafate

Art Picture

Des zoizos

et un zoizal